Louisa-Marie Buntts

Nom: Buntts

Prènom: Louisa-Marie

Age du perso: 15 ans

Caractère: (5lignes)
Louisa respire la joie de vivre. D’ailleurs, ça se voit et ça s’entend. C’est bien simple, on a l’impression qu’elle est née le sourire aux lèvres. Souriante, aimable, la jeune fille serait donc plutôt agréable à vivre s’il n’y avait pas le revers de la médaille. Car la jeune fille possède tout de même de nombreux défauts. Le plus important, est sans aucun doute sa naïveté. Car la demoiselle, malgré son âge assez avancé, désormais, est toujours aussi candide. Et son impulsivité n’arrange rien, au contraire… Lou’ passe souvent pour une simple petite écervelée aux yeux de nombreuses personnes.

Pourtant la demoiselle est plus futée qu’elle ne le laisse paraître… Ainsi elle sait se défendre verbalement (elle veut toujours avoir le dernier mot…) ainsi que physiquement et défendre ses amis lorsqu’ils en ont besoin. D’ailleurs Lou’ aime beaucoup ses amis. Personne de confiance, elle est toujours à leur écoute, et passe bien souvent leur propres intérêts devant les siens.
Intellectuellement parlant, on ne pas dire que Louisa est une très bonne élève. Ce n’est pas qu’elle le voudrait pas. Elle fait des efforts, assiste à ses cours, et tâche au mieux de faire ce qu’on lui demande. Mais sa maladresse naturelle ne l’aide pas beaucoup dans cette tâche, et bien souvent, elle n’arrive à rien. Si seulement elle pouvait rester concentré assez de temps pour tâcher de comprendre… Malheureusement, son esprit par bien souvent en vadrouille à la rencontre de je-ne-sais-même-pas-moi-même.
Bref, Louisa est une jeune fille des plus normales… Si ce n’est qu’à l’encontre de la plupart des élèves, elle déteste les cours de vol… Lou’ a en effet très peur du vide.

Histoire: (min. 8 lignes)
L’homme souleva en riant la fillette et l’installa sur ses épaules, tout en se dirigeant vers la maison. Celle-ci était petite, vieille mais gardait un certain charme. Des lierres recouvraient une grande partie des murs comme s’ils allaient peu à peu engloutir la maison. Un petit jardinet sous une des fenêtres ajoutait un air coquet à l’ensemble. L’homme avançait dans le chemin menant à la porte d’entrée, sans prendre garde à ce qu’il y avait autour, s’efforçant seulement de faire rire aux éclats la fillette qui se trouvait sur ses épaules. Il s’apprêtait à mettre la main sur la poignée, lorsque la porte s’ouvrit brusquement, laissant apparaître une femme plutôt belle, qui ne paraissait pas être de très bonne humeur. Sa colère explosa finalement peu après :

- Patrick Edward Buntts ! Comment avez-vous pu entraîner votre fille dans une telle aventure... Non mais franchement, tu as un peu pensé aux risques ? ! ? Transplaner avec Louisa-Marie… Mais c’est de l’inconscience ! Et si tu l’avais perdu en route, hein ? Tu fais comment pour la retrouver ?
- Mais… Bi-biche…
- Pas de Mais… Humpfh !

Elle pointa silencieusement sa baguette sur la gorge de son tendre époux, qui devint dans l’incapacité de prononcer une parole. Et tout ceci sous les yeux de la fillette, qui, du haut de son perchoir applaudissait joyeusement en criant " Encore, Encore ! ".
Finalement, la Femme tendis les bras vers sa fille, et la fit descendre, avant de la faire entrer dans la maison. Elle entra à sa suite, et prit soin de claquer la porte au nez de son mari, pour bien lui faire comprendre sa colère. M.Buntts garda, le silence, il ne pouvait pas faire autrement, d’ailleurs, puis tira sa baguette de sa poche, et quelques secondes plus tard, il n’était plus aphone, mais n’osait pas pour autant rentrer dans la maison.

Dans leur petit village situé aux abords de Londres, les Buntts étaient connus pour le caractère enfantin du chef de famille, et autoritaire de Mme Buntts. Dans leur dos, les cancans allaient bon train, comme quoi c’était une famille loufoque, étrange. Devant eux, c’était l’inverse. Tout le monde les aimait, tout le monde les appréciait. Il est vrai qu’au fond, ils n’étaient pas méchants. Et leur maison étant à la sortie du village, on les voyait bien trop peu pour oser les juger…

Louisa-Marie poussa un gros soupir en s’asseyant sur le banc dans la grande salle. Elle entrait en Deuxième année à Poudlard, et assistait au premier petit-déjeuner de cette nouvelle année. Et si cette dernière commençait par un soupir, c’est tout simplement parce que la jeune demoiselle n’avait quasiment pas pu fermer l’œil de la nuit, trop excitée par la rentrée, et ne s’était endormi qu’au petit matin, une petite heure avant que son réveil ne sonne. Autant dire, que c’est donc à moitié endormie que la jeune fille mangea une bouchée de sa tartine tout en écoutant distraitement les conversations de ses voisines de table. Discussion, qui la sortit brusquement de sa torpeur :

- Oh ! Regarde ! Il porte la tartine à sa bouche !
- Qu’il est chou ! Oh ! Tu as vu ! Il ne l’a presque pas mâché !

Merlin. Etait-ce un rêve ? Avait-elle bien entendu ? Sous le coup de la stupéfaction et de l’amusement, elle pouffa et cracha une bouchée de sa tartine, qui alla se figer dans les cheveux d’une fille passant par là, sous l’indignation des deux péronnelles. Jusqu’où pouvait bien aller la bêtise humaine ? Non mais franchement, être rendue à regarder comment mangeait un garçon… Pfff. C’était improbable. Toujours aussi surprise, Louisa chercha finalement des yeux, l’objet de tant d’admiration. Elle mit très peu de temps à le trouver. James Potter. Qui ne le connaissait pas ? Lui et ses trois autres amis étaient les vedettes de Poudlard. Dès sa première année, Lou’ avait apprit à les reconnaître. Bien sûr, elle ne les côtoyait jamais. Vous imaginez vraiment Louisa-Marie avec de telles célébrités ? Non ? Ben elle non plus. Quoiqu’il en soit, la jeune fille était dans l’instant présent, étonnée par ce qu’elle entendait. La réputation de sa maison ne l’étonnait guère désormais…

Louisa-Marie venait tout juste de se lever. Comme par hasard, elle était en retard. Comme par hasard, son réveil avait choisit le jour où elle avait un cours super important de potions pour ne pas sonner. Comme par hasard, elle était encore toute ensommeillée lorsqu’elle s’était rendue dans la Grande Salle. Comme par hasard, elle s’était trompée de table et s’était installée à la table des Gryffondors. Comme par hasard ils s’étaient installés juste à côté d’elle. Cela faisait beaucoup de hasard dans une seule matinée, et pourtant… Pourtant les Maraudeurs étaient bien là assis auprès d’elle en chair et en os. Elle aurait même pu toucher Peter, qui était juste à côté d’elle. Whaouh. Et Lui aussi il était. Il était particulièrement beau, en plus ! Râââ… Mais il n’avait d’yeux que pour la Rousse assise près de lui. C’était rageant. Et elle en plus ne semblait pas vouloir lui accorder la moindre attention. Louisa, qui mangeait machinalement comme si elle était au ciné et mangeait du popo-corn en regardant le film, avait envie de lui crier " Mais c’est bon, il est beau, gentil, craquant, accorde-lui au moins un sourire ! " Meuh, non. A la place, elle continuait de manger tout en dévorant des yeux le jeune homme. Tiens, il mettait de la confiture sur sa tartine… Une voix la coupa en plein milieu du spectacle, et la fit rougir de haut en bas.

- Sirius… On dirait que tu as une admiratrice…

Par Merlin ! La Honte ! Non seulement elle se comportait comme les deux filles de la semaine passée, mais en plus elle s’était fait repérer… Niarf. Mais elle avait ses raisons. Il faut dire que deux jours plus tôt, elle avait malencontreusement heurté Sirius au détour d’un couloir, qui s’était excusé en lui adressant un sourire ! C’qu’il était beau quand il souriait ! Bref, et là, maintenant qu’elle se retrouvait tout près de lui, elle n’avait pu s’empêcher de l’observer… Et elle venait d’être découverte. Par l’un des amis proche de Sirius, en plus. Remus Lupin. Il la regardait désormais -il n’était pas le seul en plus, toute le groupe d’amis la regardait, en se demandant probablement pourquoi elle était à cette table- et se penchant vers elle, il lui murmura en souriant :

- Il est pas si beau que ça de près, hein ?

Lou’ entra dans son dortoir en poussant un soupir d’aise. Elle venait tout juste d’arriver, avec les autres élèves, et entamait sa cinquième année au château. Elle était particulièrement impatiente de retrouver son lit, qu’elle avait eu, tant de fois, tant de mal à quitter, mais également ses amis. Certains étaient connus pour leurs prouesses, d’autres pour leur maladresse. Louisa faisait partie de ceux-là. Elle n’avait pas tellement d’amis, mais presque tout le monde la connaissait. La plupart ne parlant d’elle que pour la critiquer ou se moquer d’elle, derrière son dos bien entendu… Et celui de Remus également. Il faut dire que le jeune homme s’était prit d’affection pour la demoiselle, et ne supportait pas qu’on puisse la critiquer sans raison valable. Ceux qui s’y étaient aventurés, le regrettaient amèrement désormais…
Bref, comme tout le monde, Lou’ avait donc réussit à se faire des amis et des ennemis. Et c’est en souriant qu’elle se rendit dans sa salle commune pour aller à la rencontre de ces premiers…


Quel est ton animal préféré ?
- Chien
- Chat
- Aigle royal
- Hibou

Quelle est ta potion préférée ?
- Le philtre de confusion
- Felix Felicis
- Potion de mémoire
- Philtre de paix

De quoi est fait ta baguette ?
- De crin de licorne
- De plume de Phénix
- D'un cheveau de vélane
- D'écaille de dragon

Quel est ton sort préféré ?
- Serpensortia
- Expelliarmus
- Stupefix
- Accio

Quel est le poste que tu préfères au quidditch ?
- Batteur
- Poursuiveur
- Attrapeur
- Gardien

Quelle est le personnage magique à qui tu aimerais ressembler ? et pourquoi? Luna Lovegood. J'adore ce personnage, tout simplement. J'aime bien son caractère, son air d'être toujours à l'ouest, et pourtant de suivre consciencieusement les évènements... Son courage aussi, et le fait qu'elle soit là si ses amis ont besoin d'elle.

Mets moi la maison où tu n'aimerais vraiment pas aller Serdaigle.